Évaluation finale de la promotion du commerce intrarégional en Afrique de l’Est. Centre du commerce international (CCI)

L’évaluation par Baastel du projet sur la promotion du commerce intrarégional en Afrique de l’Est (Kenya, Tanzanie et Zambie) du Centre de commerce international (CCI) a permis au consultant de passer beaucoup de temps sur le terrain, ce qui n’est pas toujours possible. Pouvoir plonger dans le contexte du projet et apprendre à connaître les intervenants grâce à un long travail sur le terrain vient enrichir tous les aspects d’une évaluation. La mission d’un mois a commencé avec une visite du siège du CCI à Genève, puis un séjour de plus de trois semaines au Kenya, en Tanzanie et en Zambie. Le consultant a communiqué avec près de 40 experts qui avaient bénéficié du programme dans diverses régions. De plus, des entrevues ont été réalisées dans les trois capitales avec un certain nombre d’organismes ayant participé à la mise en œuvre du projet et d’autres partenaires du projet.

Tous les participants, le CCI, les divers intervenants, les bénéficiaires et l’évaluateur lui-même, ont jugé que cette évaluation avait été une expérience extraordinaire. Le consultant, qui s’est chargé de dizaines de mandats semblables, estime que ce fut « l’un des plus intéressants, détaillés et complets » qu’il avait réalisés. « Tous les types d’intervenants ont été rencontrés dans chacun des pays, les répondants ont fait preuve d’ouverture et de transparence, une quantité impressionnante de renseignements a été recueillie et analysée, et le rapport d’évaluation a été lu, commenté et jugé très utile par l’ensemble des intervenants du CCI ».

L’évaluation représente un excellent exemple d’une méthodologie fiable et normalisée, qui s’appuie principalement sur une collecte de données exhaustives et une analyse rigoureuse. Comme pour tous ses autres mandats, Baastel a misé sur une approche souple et collaborative pour gérer l’évaluation, ce qui a grandement contribué à son succès. L’évaluation a également intégré des approches novatrices, comme une reconstruction complète de la théorie du changement du projet, qui n’était pas disponible au départ. Les gestionnaires du projet ont convenu d’une théorie du changement, qui a été présentée d’une manière attrayante sur le plan visuel pour faciliter la compréhension, et cette théorie a jeté les bases de l’évaluation des progrès du projet vers l’atteinte des résultats escomptés.

Même si l’évaluation reposait principalement sur des données qualitatives, le consultant a développé une échelle numérique assortie de données de référence pour l’évaluation de projets. Cet aspect de la méthodologie s’est avéré particulièrement utile dans la communication et la comparaison des résultats de manière normalisée dans divers contextes de projet.

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